Même si le moyen format a son charme: il n'y a aucun automatisme pour les appareils que je possède, d'où peu de pannes; a contrario il prend du temps. Trop pour la spontanéité,assez pour composer.
Qui dit grande surface sensible/capteur dit grand besoin de lumière. Comme il y a une limite à ce que l'on peut porter, les objectifs ne croissent heureusement pas en poids suivant les proportions du format. Sinon, le 80-200/2.8APO pèserait ...15.3Kg! Le Nikkor sw90 ouvre en réalité à 4.5 pour le 90mm équivalent à un 24mm en 24/36 sur le 6/17 et ne pèse que...600g auxquels se rajoutent près de 300g de cône de montage au boîtier...
Ça permet néanmoins de réaliser de sympathiques clichés...
C'est parfois même discret lorsque on utilise en pause longue posé à côté de soi un vieux kynax à soufflet. Par contre il faut s'armer de patience: plus de 30s de pause, sans flash, et sans voir ceux qui sont passés devant l'objectif.
Retournons au 135 ou 24/36
Bref, après ces détours, la suite du safari.
A tout seigneur tout honneur: le guide qu'il faut avoir: David!
Le même en train de twitter via son iphone
Bref, nous avons vu de tout, en passant par le gundam café qui s'ouvrait, les petites venelles qui font tout le charme de Tokyo qu'elles soient résidentielles ou interlopes, temples, bon coins que certains accrocs du blog de David reconnaîtront, marchés, et cætera...